Le tri des déchets, c’est une question qui nous taraude, puisque c’est l’une des pistes sur lesquelles chacun peut évoluer individuellement pour contribuer à sauver notre chère planète. Faire le tri, c’est une activité écologique accessible à tous; encore faut-il savoir s’y retrouver parmi les différentes pratiques, les diverses organisations dépendant des municipalités, etc… Clipper vous dit tout sur tout au sujet de l’organisation du tri des déchets.
Voici les 3 règles d’or pour bien trier vos déchets :
Ainsi, il est conseillé, dans la mesure du possible, d’éviter au maximum d’acheter des produits générant des déchets non recyclables : les pots de yaourt en plastique, les couches-culottes <https://www.clipper-teas.fr/the-green-room/on-aime/avoir-un-bebe-enfant-et-etre-zero-dechet-cest-plus-facile-que-ce-que-lon-pense/>, les sacs plastique, les tubes de dentifrice, etc… Et pour éviter de se retrouver avec trop de déchets, on se tourne aussi vers des aliments d’épicerie sèche en vrac : comme les lentilles, les pâtes, les céréales, les graines, etc…
Ce n’est pas facile de créer un guide des bonnes pratiques de tri universel, étant donné que…certaines règles changent en fonction de là où vous habitez ! A Paris et Lyon par exemple, on peut dorénavant jeter ses déchets souillés dans le bac jaune, mais ce n’est pas le cas dans toutes les villes françaises. Question vraisemblablement bien compliquée, l’explication est pourtant simple : les usines et les infrastructures qui gèrent le recyclage ne sont pas partout les mêmes, et adoptent des processus différents.
D’ici 2022, le gouvernement français prévoit d’homogénéiser le système actuellement en place, et il sera alors plus simple de comprendre le tri sélectif et son fonctionnement. En attendant, il est possible de connaître les conditions de tri de son agglomération en se rendant sur le site www.consignesdetri.fr. Le site propose également de saisir le matériau ou l’objet à recycler dans une barre de recherche, et indique quelles sont ses conditions de recyclage. Pratique ! Et bonne nouvelle : l’appli existe aussi et elle est disponible sur Android et IOS ! Le site référence également tous les bacs de tri à disposition sur des cartes en ligne.
Les déchets organiques sont également recyclables, c’est ce qu’on appelle le compost.
On distingue 4 types de compost aujourd’hui :
Installer un bac à compost chez soi
Installer un bac à compost dans son jardin, c’est LA bonne idée : ça permet d’éviter la déperdition des énergies potentielles des déchets recyclables, de se passer des engrais, nocifs pour l’environnement, et d’entretenir le jardin.
Pour installer un bac à compost, il faut tout d’abord se munir du fameux bac : on peut l’acheter en jardinerie (un peu cher parfois), ou bien le fabriquer soi-même. Il est également possible de créer un tas de compost au fond de la cour, mais on pensera à couvrir son compost avec un couvercle ou une bâche afin de le protéger de la pluie et du vent qui pourraient le disséminer un peu partout dans le jardin, dommage !
Les deux seules règles à respecter dans la fabrication maison d’un composteur sont les suivantes : ne pas installer de fond pour laisser le compost au contact de la terre (c’est comme cela que les lombrics et autres petits animaux viendront traiter les déchets), et prévoir les bonnes dimensions (il ne faut pas sous-estimer le volume de ses déchets, mais il n’est pas non plus nécessaire d’envahir tout le jardin).
Les choses à savoir pour entretenir son compost :
Le lombricompostage en appartement
Lorsqu’on a la chance d’avoir un jardin, il est plutôt simple de créer son bac à compost. Ce n’est pas la même histoire lorsque l’on habite en appartement. De plus en plus de particuliers se tournent aujourd’hui vers cette solution, qui permet de limiter ses déchets sans pour autant avoir de jardin ou de terrasse.
Le principe est le même que le compost de jardin : grâce à un jeu de bacs à usages différents, on recrée les couches du compost. Le bac supérieur est celui où les déchets seront placés. Le ou les bacs inférieurs accueilleront les vers qui ingèreront et transformeront les déchets. Enfin, le bac du bas servira à retenir la production des vers qui pourra être utiliser pour entretenir vos plantes d’intérieur notamment.
De tailles et designs variés, on trouve de plus en plus de choix en ce qui concerne ces lombricomposteurs. Comptez 60 euros environ pour les bacs pour 1 à 2 personnes et près de 100 euros pour ceux de taille familiale. Et pour les plus manuel.le.s d’entre nous, on trouve même des tutoriels pour fabriquer son propre lombricomposteur !
Si l’idée d’héberger des lombrics chez vous ne vous emballe pas ou si vous n’avez pas la place, certaines associations ou collectivités ont mis en place des bacs à compost publics, permettant de réutiliser les déchets organiques des habitants.
Les bacs à compost publics
Pour remédier à ce problème, certaines structures et associations citoyennes mettent en place des compostages partagés, c’est-à-dire, des bacs à compost auxquels chacun peut contribuer, et chez Clipper, on trouve l’idée plutôt sympa. Ces derniers sont référencés sur cette carte <lien : http://jeveuxmonbacbio.org/agir/> et il est même possible d’y inscrire le bac à compost lancé par son initiative, si tant est qu’elle soit collective. Dans ce cas rien de plus simple, on isole ses déchets organiques dans un récipient dédié, et on le vide régulièrement dans le bac public. Facile !
Pour éviter de polluer la planète, certaines marques agissentet travaillent sur la dimension écologique de leurs packagings. C’est notamment le cas pour Clipper, qui a choisi des emballages recyclables : la boîte de thé, les enveloppes des sachets, ainsi que les étiquettes peuvent tous être recyclés et placés dans le bac jaune. Les sachets de thé usagés quant à eux, sont compostables. Et oui, chez Clipper, en plus de notre passion pour le thé, on aime faire ce qui est bon pour la planète !